Etude pilote de la disponiblite des donnees administrative sur le cadre conceptuel relatif la statistique de femicide
Le rapport traite de la violence répandue contre les femmes et les filles, soulignant qu’il s’agit d’une violation majeure des droits de l’homme, enracinée dans l’inégalité des sexes, la discrimination et les normes sociales néfastes. Il indique qu’environ une femme sur trois dans le monde et Djibouti a subi des violences physiques ou sexuelles, souvent de la part d’un partenaire intime.
Le report met également en évidence la gravité des meurtres liés au genre, notant qu’environ 45 000 femmes et filles ont été tuées par des partenaires intimes ou des membres de leur famille en 2021, soit plus de cinq décès par heure. Le nombre réel de féminicides pourrait être encore plus élevé.
Pour y remédier, le rapport appelle à une meilleure collecte de données et à des réponses renforcées aux violences basées sur le genre. Il mentionne une étude pilote à Djibouti, soutenue par ONU Femmes, visant à améliorer les données sur les féminicides pour mieux comprendre et traiter ce problème. L’objectif de l’étude est de fournir un cadre statistique, incluant le contexte et les structures institutionnelles liées aux féminicides.